Tribune
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Publié le 23 Avril 2013

Dans le ghetto de Terezín, le foot sous l’étoile jaune

 

Par Guillaume Narguet

 

Avec la course à pied, activité par essence naturelle à l’homme, le football possède un langage partagé dans le monde entier qui fait de lui le plus universel des sports. Passion commune à tous les peuples, quelles que soient leurs conditions de vie, le football, depuis sa création et de par sa simplicité, a survécu à tous les aléas de l’histoire pour devenir le phénomène qu’il est aujourd’hui. Preuve supplémentaire, si besoin en est, de cette universalité : le football a même été pratiqué officiellement pendant la Deuxième Guerre mondiale dans le ghetto juif de Terezín (Bohême centrale). Un championnat unique en son genre y a été disputé sous la bienveillance des autorités nazies soucieuses de donner à la communauté internationale une image rassurante du sort des déportés et des prisonniers juifs. Reportage à Terezín…

 

Par Guillaume Narguet

 

Avec la course à pied, activité par essence naturelle à l’homme, le football possède un langage partagé dans le monde entier qui fait de lui le plus universel des sports. Passion commune à tous les peuples, quelles que soient leurs conditions de vie, le football, depuis sa création et de par sa simplicité, a survécu à tous les aléas de l’histoire pour devenir le phénomène qu’il est aujourd’hui. Preuve supplémentaire, si besoin en est, de cette universalité : le football a même été pratiqué officiellement pendant la Deuxième Guerre mondiale dans le ghetto juif de Terezín (Bohême centrale). Un championnat unique en son genre y a été disputé sous la bienveillance des autorités nazies soucieuses de donner à la communauté internationale une image rassurante du sort des déportés et des prisonniers juifs. Reportage à Terezín…