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Les contentieux liés au terrorisme, aux droits de l'homme, ou à la Syrie n'étaient pas sur la table à Genève. Rouhani semble désireux de changer les choses, mais, il est très douteux que le régime iranien ait renoncé à sa politique de confrontation avec les pays occidentaux, qui est "dans l'ADN politique de la Révolution" comme le disent les conservateurs iraniens eux-mêmes. On peut même douter qu'il puisse survivre à une réforme en profondeur ou à une réconciliation avec les États unis et leurs alliés, du moins tant que le Guide suprême aura la haute main sur le pays... Lire la suite.