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Ce qui frappe, c’est l’évidence du préjugé défavorable, c’est à dire du manque d’impartialité, de la rapporteure. La circoncision, écrit-elle, est "néfaste" et constitue une "violation manifeste des droits humains", à ranger dans la catégorie paria ou interlope des excision, piercing, tatouage, pathologies intersexuées (cas raririssimes d’enfants présentant les deux sexes), chirurgie esthétique... Elle est tenue, et c’est plus grave, pour un indice du caractère mauvais de l’identité qui la porte, qualifiée de "face sombre de leurs propres religions, traditions et finalement identités". L’identité juive, tout le judaïsme sont donc "sombres", possèdent une face obscure qui porte atteinte aux droits de l’enfant. Car c’est surtout la circoncision des Juifs qui est sur la sellette… Lire la suite.