Marc Lévy

Représentant du Crif en Israël

Le billet de Marc Lévy -  La fin d’Israël n’a pas eu lieu. Celle du compteur, si

25 June 2025 | 206 vue(s)
Catégorie(s) :
Actualité
"Je m’en vais vous mander la chose la plus étonnante, la plus surprenante, la plus merveilleuse, la plus miraculeuse, la plus triomphante, la plus étourdissante, la plus inouïe…"
 

 

En juin 2017, quelques mois après l'assassinat de Sarah Halimi, Francis Kalifat, Président du Crif, publiait cette tribune en hommage à Sarah Halimi, devenue le triste symbole de l'antisémitisme qui tue. 

Sarah Halimi, une retraitée a été battue à mort à Paris, le 4 avril 2017 et son calvaire a duré plus d'une heure. Et, il s'agit bien d'un meurtre antisémite.

Thierry Noël-Guitelman est un journaliste, membre de l'association Hébraïca à Toulouse. Il a engagé, en 2004, des recherches familiales sur l'étoile jaune, sa tante Ida Seurat-Guitelman, ayant obtenu une exemption.

Gil Taïeb's picture
Nous sommes debout
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03 April 2017
Catégorie : France, Actualité, Opinion

Samedi 1er avril place du Châtelet se sont réunies une centaine de membres du Collectif Boycott Israël

Francis Kalifat, the Crif President gave a speech at the annual Crif's dinner 2017. 

Le judaïsme indien est assez méconnu en France. Pourtant, il est d'une implantation millénaire. Il y avait environ 35 000 Juifs aux Indes lors de la création de l'État d'Israël

Johnny est malade. Oui, le grand Johnny. Lundi, la fille de Johnny Hallyday avait annoncé que son père souffrait d'un cancer avant de crier au piratage de son compte. Ce mercredi soir, c'est finalement le chanteur lui-même qui prend soin d'envoyer un mot sur Twitter pour rassurer ces fans. Si on lui a dépisté « des cellules cancéreuses » pour lesquelles il est « traité », il assure être confiant sur son suivi. "Mes jours ne sont pas aujourd'hui en danger, rappelle L’Express du 9 mars.

Cela paraîtra peut-être étrange à certains de mes lecteurs, mais j’aime Johnny, j’aime son timbre de voix, j’aime aussi certaines de ces chansons, je suis presque, presque un fan.

Pourquoi dans cette affaire, est-ce Bensoussan qui seul est poursuivi en justice et non pas simultanément Smaïn Laacher ?

 
"La culture est ce qui a fait de l'homme autre chose qu'un accident de l'univers", déclarait André Malraux. C'est pour toutes ses vertus que la culture est grande et qu'elle reste et doit rester un rempart contre l'obscurantisme, le racisme, l'antisémitisme et l'homophobie. De chaque création artistique doit jaillir une lumière. C'est à cela que doit aspirer chacun de ceux qui ont le bonheur de pouvoir créer ou d'interpréter une oeuvre. 

 

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Opinion

Bienvenue sur le blog La Chronique (pas tès casher) de Raphaela ! Sur ce blog, Raphaela vous propose ses billets d'humeur sur tout ce qui l'entoure, l'émeut, la touche, la fait rire et la révolte. Et elle a des choses à vous dire...

Depuis plusieurs années, le cinéma international ne cesse de plébisciter les cinéastes iraniens. Asghar Farhadi en est l’exemple même. Cependant, certains réalisateurs n’ont pas la chance d’être autant ovationnés.

Pour leur cinéma engagé, frontal et dénonciateur du pouvoir politique et du régime iranien, grand nombre de réalisateurs iraniens ont été, pour les plus chanceux, contraint à l’exil, tandis que d’autres en détention, subissent le triste sort réservé aux prisonniers iraniens.

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Elle trônait fièrement au cœur de Téhéran, sur la bien nommée place Palestine. Elle scintillait, elle décomptait et se voulait prophétique : cette horloge électronique n’annonçait ni la fin de l’année scolaire, ni la date du prochain Ramadan, mais rien moins que la disparition d’Israël. Un détail.

8 411 jours, avait dit l’Ayatollah en 2015. 25 ans, pas un de plus. En 2040, Israël serait rayé de la carte, archivé dans les manuels d’histoire et, pourquoi pas, remplacé par un « État palestinien » de la mer au Jourdain…

Les Ayatollahs avaient matérialisé cette échéance sous forme de compteur lumineux, en farsi, arabe et anglais — projet multilingue, comme il sied pour toute haine mondialisée.

Mais voilà : le 23 juin 2025, une frappe israélienne a redéfini brutalement le sens du mot « échéance ».

Frappée parmi plusieurs cibles à Téhéran, dont la prison d’Evin -Bastille qu’il aurait fallu épargner selon le Quai d’Orsay — le temps s’est arrêté pour la sinistre horloge.

L’Ayatollah avait parlé, et le feu est tombé du ciel. Non pas celui d’Allah, mais celui des F-35.

Depuis, le régime proteste. Une agence semi-officielle a même publié une vidéo censée prouver que l’horloge fonctionne toujours. On y voit... un écran noir, quelques diodes rouges, et beaucoup de brouillard. On ne sait pas si on regarde un panneau électronique ou un vieux four à micro-ondes.

Alors non, Israël ne disparaîtra pas dans 15 ans. Mais l’horloge, elle, n’aura même pas tenu huit ans. Et avec elle, ont été détruits tous les sites nucléaires iraniens. Les centrifugeuses ont cessé de tourner, les ingénieurs ont cessé de calculer et la prophétie de Khamenei s’est envolée en fumée.

Il en sera de même pour son régime.

 

Marc Lévy 

 

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