Gil Taïeb

Vice Président du Crif

Blog du Crif - Lettre ouverte à Laure Adler, par Gil Taieb

29 Mars 2019 | 247 vue(s)
Catégorie(s) :
France

Par un enchaînement de hasards, notre bloggueuse Sophie, plus habituée aux sujets de cyber-sécurité et de contre-terrorisme, s'est retrouvée les mains dans la pâte (à pizza). Et ça lui a donné quelques idées plutôt gourmandes... Elle les partage avec vous cet été à travers ces chroniques culinaires !

 

Par un enchaînement de hasards, notre bloggueuse Sophie, plus habituée aux sujets de cyber-sécurité et de contre-terrorisme, s'est retrouvée les mains dans la pâte (à pizza). Et ça lui a donné quelques idées plutôt gourmandes... Elle les partage avec vous cet été à travers ces chroniques culinaires ! 

Il y a 80 ans, le 7 juin 1942, la législation instaurant l'étoile jaune était mise en place. À cette occasion, découvrez 4 articles sur la façon dont Serge Gainsbourg, Jean Ferrat, Sacha Distel et Marcel Gotlib ont vécu le port de l'étoile jaune.

Ces articles sont proposés par Bruno Halioua, et issus de son livre «Leur Seconde Guerre Mondiale», (édition Buchet Chastel - 2020). Dans ce livre, il s'intéresse à la façon dont certaines personnes célèbres ont vécu les événements marquants de la Seconde Guerre Mondiale.

Il y a 80 ans, le 7 juin 1942, la législation instaurant l'étoile jaune était mise en place. À cette occasion, découvrez 4 articles sur la façon dont Serge Gainsbourg, Jean Ferrat, Sacha Distel et Marcel Gotlib ont vécu le port de l'étoile jaune.

Ces articles sont proposés par Bruno Halioua, et issus de son livre «Leur Seconde Guerre Mondiale», (édition Buchet Chastel - 2020). Dans ce livre, il s'intéresse à la façon dont certaines personnes célèbres ont vécu les événements marquants de la Seconde Guerre Mondiale.

Il y a 80 ans, le 7 juin 1942, la législation instaurant l'étoile jaune était mise en place. À cette occasion, découvrez 4 articles sur la façon dont Serge Gainsbourg, Jean Ferrat, Sacha Distel et Marcel Gotlib ont vécu le port de l'étoile jaune.

Ces articles sont proposés par Bruno Halioua, et issus de son livre «Leur Seconde Guerre Mondiale», (édition Buchet Chastel - 2020). Dans ce livre, il s'intéresse à la façon dont certaines personnes célèbres ont vécu les événements marquants de la Seconde Guerre Mondiale. 

Pages

Israël

POUR JERUSALEM PAS UNE VOIX NE DOIT MANQUER
POUR JERUSALEM AUCUN D’ENTRE NOUS NE PEUT SE TAIRE
 

 

Le boycott des produits israéliens (nous) glace le sang.

Un ouvrage sympathique et émouvant à découvrir.

Une grande passion pour Israël et pour le peuple juif.

I was interviewed in English and French, on EJP , Tuesday, May 31, 2016.

J'ai été interviewé, en anglais et en français, sur EJP, mardi 31 mai 2016.

J'ai été interviewé par Marc-Olivier Fogiel et Eléanor Douet, sur RTL, lundi 30 mai 2016, à la suite de mon élection à la Présidence du Crif.

A l'occasion de l'assemblée générale du Crif réunie le 29 mai 2016, j'ai prononcé mon discours de candidature.

 
Lors d’une allocution devant le Conseil de sécurité, Rafael Ramirez, représentant du Venezuela auprès des Nations-Unies, a lancé… « Qu’est-ce qu’Israël a l’intention de faire avec les Palestiniens ? Vont-ils disparaître ? Est-ce qu’Israël cherche à imposer une Solution finale sur les Palestiniens ? » 
 

Décryptage.

 

A Noël, les journaux français qui ont imputé aux Israéliens les difficultés des chrétiens à Bethléem ont passé sous silence l'attaque du Patriarche latin de Jérusalem par des émeutiers palestiniens musulmans dans la ville natale de Jésus. Une différence de couverture lourde de sens dans la période de Noël chargée de symboles.

A Noël, les journaux français qui ont imputé aux Israéliens les difficultés des chrétiens à Bethléem ont passé sous silence l'attaque du Patriarche latin de Jérusalem par des émeutiers palestiniens musulmans dans la ville natale de Jésus. Une différence de couverture lourde de sens dans la période de Noël chargée de symboles.

D'abord on critique, puis on dénie et pour finir on adopte. Laissons le temps au temps.

Conflit israélo palestinien, traitement médiatique, crise de l'information : analyse

Portrait de Sophie Taïeb
Incendie du tombeau de Joseph
|
16 Octobre 2015
Catégorie : Israël

Détruire la cité ancienne de Palmyre et faire brûler le tombeau de Joseph reviennent-ils vraiment au même ? Pas pour tout le monde.

Quand les larmes se transforment en espoir d'un monde meilleur.

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Opinion

Dès le début de l’offensive russe contre l’Ukraine, nous avons, le 23 février dernier, proposé à nos lecteurs, une étude sur les Juifs d’Ukraine. Depuis quelques jours, le conflit semble s’étendre à deux autres pays, la Finlande et la Suède. Nous vous proposons de découvrir les communautés juives de ces deux pays. Aujourd’hui, les Juifs de Finlande.

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Mercredi 27 mars au soir, j’ai écouté, comme je le fais souvent, France Inter. Plus précisément l’émission l’heure bleue animée par Laure Adler. Elle recevait Leila Shahid. Dès le début de l’émission, le décor était planté : le premier des morceaux choisis par Leila Shahid a été celui de la grande chanteuse libanaise Fayrouz: Al Qods. 

Et là commence alors la diffusion du venin de la propagandiste professionnelle palestinienne avec la complaisance mielleuse de Laure Adler. 

A la question:  « pourquoi cette chanson et que raconte-t-elle ? » Le serpent Shahid, tel le python Kaa, dans le Livre de la Jungle, sous son air débonnaire, débute sa séance d’hypnose. « Cette chanson parle de la ville où est née ma grand-mère, qui devrait appartenir au Monde et n’être la capitale d’aucun pays. ISRAEL l’a volée et se l’est appropriée » dit-elle.

La machine à propagande est lancée. Le message passe sans aucune réaction, ni interrogation. Laure Adler boit ses paroles et fait même en sorte de nous les faire avaler.

Toute l’émission n’a été qu’une perfusion au goutte-à-goutte de la propagande palestinienne. Tous les clichés et mensonges que Leïla Shahid a diffusé tout au long de sa carrière de diplomate maléfique y sont passés. 

Tout au long de l’émission, elle a propagé son virus, condamnant Israël et l’accusant de tous les maux, attaquant le président américain pour ses dernières déclarations, désignant Israël comme un état criminel et voyou, rejetant toutes les résolutions onusiennes.

Tout y est passé : Sabra Chatila, le Liban, le Golan, les territoires administrés et évidemment Gaza. Leila Shahid, après avoir sans complexe rappelé avec fierté son appartenance à la « grande famille des Husseini » conclut par une tirade affirmant son soutien « aux gazaouis, victimes des tirs assassins des Israéliens »

Madame Adler, le journalisme n’est pas une cantine dans laquelle on sert la soupe sans réaction !

Vous ne pouvez laisser passer tant d’affirmations haineuses et mensongères.

Vous ne pouvez laisser dire qu’Israel a volé Jérusalem.

Vous ne pouvez laisser parler de cette famille Husseini sans rappeler l’un de ses membres les plus influents que fut le Mufti de Jérusalem qui a reçu Hitler, l’a assuré de son soutien et lui a même demandé de le débarrasser des Juifs de Palestine.

Vous n’avez pas le droit de laisser Leila Shahid, parler des enfants palestiniens sans lui rappeler ces milliers d’enfants Israéliens qui depuis des années vivent au rythme des sirènes qui les réveillent à chaque fois que les assassins du Hamas ou du Djihâd islamique décident de tirer pour tuer.

Madame Adler, mercredi soir vous avez déshonoré votre profession.

Vous avez insulté la mémoire des millions de morts exterminés par le régime hitlérien soutenu par les Husseini.

Vous avez craché sur la seule démocratie de la région et sur tout un peuple qui a fait tant de concessions dans l’espoir de vivre en paix. 

Madame Adler, sur le service public, mercredi 23 mars vous avez, par méconnaissance j’espère ou en choisissant un camp je le crains, alimenté la haine contre le peuple juif debout et vivant et qui a décidé de ne confier son destin à aucune autre nation. Cela dérange mais c’est une réalité indéracinable. Madame Adler j’aurais tant aimé que vous vous souveniez de vos nombreux voyages en Israël et même du temps vous aviez failli y vivre.

Il est vrai, vous aviez 18 ans et à cet âge, vous aviez encore la pureté et l’honnêteté de ceux qui voyaient se réaliser un rêve millénaire et qui n’étaient pas pollués par la propagande.

Gil Taieb

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