Richard Prasquier

Ancien Président du CRIF

« Lettre à un ami israélien »

29 Mai 2018 | 430 vue(s)
Catégorie(s) :
Israël

FOR JERUSALEM NO VOICE MUST MISS
FOR JERUSALEM NONE OF US CAN REMAIN SILENT

POUR JERUSALEM PAS UNE VOIX NE DOIT MANQUER
POUR JERUSALEM AUCUN D’ENTRE NOUS NE PEUT SE TAIRE
 

 

Le boycott des produits israéliens (nous) glace le sang.

Un ouvrage sympathique et émouvant à découvrir.

Une grande passion pour Israël et pour le peuple juif.

I was interviewed in English and French, on EJP , Tuesday, May 31, 2016.

J'ai été interviewé, en anglais et en français, sur EJP, mardi 31 mai 2016.

J'ai été interviewé par Marc-Olivier Fogiel et Eléanor Douet, sur RTL, lundi 30 mai 2016, à la suite de mon élection à la Présidence du Crif.

A l'occasion de l'assemblée générale du Crif réunie le 29 mai 2016, j'ai prononcé mon discours de candidature.

 
Lors d’une allocution devant le Conseil de sécurité, Rafael Ramirez, représentant du Venezuela auprès des Nations-Unies, a lancé… « Qu’est-ce qu’Israël a l’intention de faire avec les Palestiniens ? Vont-ils disparaître ? Est-ce qu’Israël cherche à imposer une Solution finale sur les Palestiniens ? » 
 

Décryptage.

 

A Noël, les journaux français qui ont imputé aux Israéliens les difficultés des chrétiens à Bethléem ont passé sous silence l'attaque du Patriarche latin de Jérusalem par des émeutiers palestiniens musulmans dans la ville natale de Jésus. Une différence de couverture lourde de sens dans la période de Noël chargée de symboles.

A Noël, les journaux français qui ont imputé aux Israéliens les difficultés des chrétiens à Bethléem ont passé sous silence l'attaque du Patriarche latin de Jérusalem par des émeutiers palestiniens musulmans dans la ville natale de Jésus. Une différence de couverture lourde de sens dans la période de Noël chargée de symboles.

D'abord on critique, puis on dénie et pour finir on adopte. Laissons le temps au temps.

Conflit israélo palestinien, traitement médiatique, crise de l'information : analyse

Portrait de Sophie Taïeb
Incendie du tombeau de Joseph
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16 Octobre 2015
Catégorie : Israël

Détruire la cité ancienne de Palmyre et faire brûler le tombeau de Joseph reviennent-ils vraiment au même ? Pas pour tout le monde.

Pages

Opinion

À l’heure de la réconciliation Jérusalem-Ankara, retour sur l’histoire des Juifs de Turquie.

Patricia Sitruk est membre du Comité directeur du Crif

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Cher Bruno Frappat

Je suis un fidèle lecteur de La Croix depuis de nombreuses années, et j’apprécie en particulier la qualité et la hauteur de vue de votre chronique. C’est pourquoi je souhaite répondre à votre « Lettre à un ami israélien », qui, je dois le dire, m’a bouleversé (La Croix des 19, 20 et 21 mai, à lire ci-dessous).

Je ne vous ferai pas l’injure de revenir sur l’histoire de Gaza, de la prise de pouvoir du Hamas par la violence un an après le départ des Israéliens, ni vous rappeler l’idéologie du Hamas et notamment l’article 7 de leur charte.

Je comprends que vous soyez opposé à la politique du gouvernement israélien ; beaucoup d’Israéliens le sont aussi, mais pratiquement aucun d’eux n’aurait réagi différemment pour s’opposer à ce qui était une tentative soigneusement organisée et pas pacifique du tout d’envoyer des militants en Israël pour tuer et/ou enlever des civils israéliens. Je n’ai aucun doute sur ce qu’aurait fait le « Juste » Isaac Rabin.

Je suis accablé par votre comparaison entre Gaza et le ghetto de Varsovie. Elle ne mérite pas de commentaire.

Je ne crois pas que les Palestiniens ont fait « comme l’aurait fait n’importe quel autre peuple… » Il y a eu des dizaines de millions de réfugiés dans le monde de l’après-guerre. J’ai été, enfant, « réfugié polonais ». Ils ont refait leur vie dans des pays d’accueil, y compris les centaines de milliers de Juifs chassés des pays musulmans. Tous, sauf les Palestiniens, éduqués dans la haine contre Israël et surtout victimes du refus des pays arabes (sauf la Jordanie) à les intégrer.

Oui, la situation des Palestiniens de Gaza est dramatique. Mais pourquoi ne rappelez-vous donc pas que, Israël dans un choix difficile, a quitté l’enclave qui n’est occupée aujourd’hui que par le Hamas qui, entre l’utilisation des aides internationales pour le développement économique ou la guerre, a constamment choisi la guerre ?

Je vous réitère mon respect très sincère.

Richard Prasquier, président d’honneur du Crif