Pour Francis Kalifat, Président du Crif, "au-delà des condamnations légitimes dont celle du Ministre de l'Intérieur, le Crif attend que les auteurs de ces profanations soient appréhendés et lourdement sanctionnés."
Le Crif salue la décision historique du Président américain Donald Trump de reconnaître Jérusalem comme capitale de l'Etat d'Israël, et le transfert prochain de l'Ambassade des États-Unis.
Le Crif note avec soulagement que l'évidence du caractère antisémite du meurtre de Sarah Halimi est enfin reconnue. Cette décision est une satisfaction pour le Crif et la Communauté juive française. Lire la suite...
Le Crif prend note de la publication par Le Figaro d'informations indiquant que l'expert psychiatrique désigné pour examiner l'auteur de l'assassinat de Mme Sarah Halimi aurait remis son rapport au juge d'instruction. Lire la suite...
Le Crif condamne avec force l'agression très violente et antisémite dont à été victime une famille juive de Livry-Gargan séquestrée, ligotée, tabassée et volée à son domicile.
Following the Charlottesville anti-Semitic and Nazi demonstration, Francis Kalifat, President of CRIF (French Jewish umbrella organization), wrote to the Presidents and CEOs of major US Jewish organisations to express support and solidarity
Le Crif condamne sévèrement l'attaque terroriste perpétrée vendredi soir à Halamish, dans laquelle un terroriste palestinien s'est infiltré dans un foyer pendant le dîner du Chabbat et a sauvagement assassiné trois Israéliens.
Following the remarks of Marine Le Pen denying France's responsibility in the Vel d'Hiv roundup, CRIF denounces revisionist remarks which unveil the true face of the National Front.
Mario Stasi, président de la Licra, remonte sur scène pour un concert exceptionnel au Théâtre Libre le 17 décembre, mettant sa voix et son talent au service de la lutte contre le racisme et l’antisémitisme.
Dans ce texte – tiré d’un conférence donnée début avril à Columbia – Pierre Birnbaum revient sur l’exceptionnalisme américain, dans lequel Salo Baron voyait la promesse d’un bonheur possible pour les Juifs, à l’abri de la persécution. Mais, alors qu’on assiste à une flambée de l’antisémitisme aux États-Unis, cet espoir a-t-il toujours du sens ? Fin analyste, Pierre Birnbaum éclaire la manière dont, après le 7 Octobre, les angoisses liées à la déstabilisation de la synthèse judéo-américaine viennent reconfigurer les modalités du rapport des Juifs américains au pouvoir et à l’État d’Israël.
Beaucoup parlent du « génocide » à Gaza comme d’une évidence et se battent pour que ce mot s’impose. Le juriste Yann Jurovics, spécialiste de droit international, revient sur la construction dans l’histoire des juridictions internationales de cette notion et rend compte de la confusion, consciente ou inconsciente, de ceux qui l’instrumentalisent à des fins politiques.
Cet article vise à donner un sens aux suites des événements du 7 Octobre, au cours desquels environ 1 200 Israéliens et non-Israéliens ont été violés, torturés, kidnappés et massacrés par le groupe terroriste Hamas. Les suites auxquelles je fais référence concernent la réaction presque immédiate dans le monde entier autour de la question singulière de la riposte d’Israël (ou, plus exactement, de la période ayant précédé ladite riposte) aux événements du 7 Octobre plutôt qu’aux événements eux-mêmes. Cette réaction a unifié des groupes disparates et supplanté pratiquement toutes les autres questions politiques et sociales ; dans le monde entier, un nombre de participants sans précédent a clamé des slogans quasiment universels. C’est la spontanéité de cette réaction, et sa capacité d'entraînement, qui doivent nous interroger.