Mercredi 8 décembre, le Président américain Donald Trump a annoncé son intention ou non de déplacer l'Ambassade américaine à Jérusalem et a reconnu la Ville Sainte comme la capitale de l'Etat d’Israël. Une décision qui fait bouger les lignes établies et qui remue la communauté internationale.
ll y a 100 ans, le 2 novembre 1917, le ministre britannique des Affaires étrangères, Lord Balfour, signait une lettre de 67 mots, qui allait changer le cours de l’histoire du futur Etat d’Israël. Le Crif vous propose un dossier sur le centenaire de la Déclaration Balfour.
On ne compte plus les attaques visant des israéliens en deux semaines. L’Intifada des couteaux ? Serait-ce déjà le nom que l’on voudrait donner à toute cette horreur ? Ce mode opératoire est cependant fréquent.
La situation des Chrétiens dans certains pays du Proche et du Moyen-Orient connaît aujourd’hui une dégradation préoccupante voire tragique qui les conduit à l’exil. L’Orient fut pourtant le berceau du christianisme premier, lieu de départ des Apôtres partis évangéliser le vaste monde. Si l’Orient ne fut jamais indemne de tensions et de persécutions, le sort aujourd’hui réservé aux minorités religieuses ne signe t-il pas la fin de sa diversité jadis si féconde. Les Chrétiens d’Orient seront-ils soumis au même sort que les Juifs du monde arabe.
Ce dossier, réalisé par Marc Knobel, contient un argumentaire, les réactions de personnalités internationales, et une analyse de l'auteur. Les textes sont disponibles et à c onsulter ci-contre.
Par Thomas Pierret - Politique étrangère, vol. 76, n° 4, hiver 2011. Politique étrangère est une revue trimestrielle de débats et d'analyses sur les grandes questions internationales. Elle est la plus ancienne revue française dans ce domaine. Son premier numéro est paru en 1936, sous l'égide du Centre d'études de politique étrangère. Depuis 1979, elle est publiée par l'Ifri. Nous publions, ci-contre, la version PDF téléchargeable du numéro du dernier semestre 2011, rédigé par Thomas Pierret et consacré à la mouvance islamique syrienne.
Juif égyptien, Moïse Rahmani, qui descend d’une famille de Rhodes et qui, après avoir vécu au Congo belge s’est installé à Bruxelles, est né au Caire. Ce militant infatigable, auteur de nombreux ouvrages, est également le directeur de la revue Los Muestros qui maintient vivace la langue et la tradition judéo-espagnoles. Moïse Rahmani, qui sera l’un des intervenants du débat « Juifs d’Égypte. Le second Exode » qui se déroulera le 14 juin prochain à 20h30 au Centre Rachi, répond aux questions de la Newsletter du CRIF.
Question : Jean-Philippe Moinet, vous avez fondé il y a quelques années, l’Observatoire de l’extrémisme. Vous avez été également Secrétaire général du Haut conseil à l’Intégration. Pourriez-vous nous rappeler ce qu’a été l’Observatoire de l’extrémisme et nous expliquer ce en quoi il consistait ?
Les 2 et 3 mai – à mi-parcours du tour d’Île-de-France de l’amitié Judéo-Musulmane qui a débuté le 21 avril – le CRIF a souhaité suivre le rabbin Michel Serfaty, délégué du CRIF dans l'Essonne et co-président de l’AJMF, lors de son passage à Sarcelles et Boulogne. Le 14 mai, prendra fin l’édition 2007 de ce parcours francilien.
Question - La commission du souvenir du CRIF et le Mémorial de la Shoah organisent une grande cérémonie le 19 avril prochain à l’occasion du 64ème anniversaire du soulèvement du Ghetto de Varsovie. En tant que spécialiste des communautés juives d'Europe orientale et plus particulièrement de la Pologne, qu’évoque pour vous ce soulèvement ?
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