Lydia Guirous en appelle au "réveil du citoyen de l'Occident" face à "l'obscurantisme islamique qui progresse rapidement". Un citoyen "anesthésié par l'individualisme narcissique et le matérialisme".
Alors que le débat est lancé dans plusieurs pays, et que tout et son contraire est déclaré, Gérard Loeb, point par point, démonte toutes les idées reçues sur l'abattage rituel. A lire pour comprendre !
L’historien spécialiste del' Algérie, qui préside le Musée de l’histoire de l’immigration, participera à la prochaine Convention du Crif, le 4 décembre 2016 à Paris. Il interviendra lors de la table ronde intitulée "Qui a peur de l’immigration ?".
Présidente de l'Observatoire international de la violence à l’école, Catherine Blaya pilote une grande enquête sur la propagande et la violence en ligne.
Question : En quatre années d’intervalle, les Etats-Unis ont doublement été frappés. Pourtant, il y a quatre ans, on avait l’impression que l’Amérique était particulièrement unie, et soudée derrière ses morts et son Président. Ces derniers jours, il semble que les habitants de la Nouvelle Orléans aient été abandonnés à leur triste sort. Et nombreux sont ceux qui critiquent les autorités fédérales et le Président. Le Président des Etats-Unis a-t-il failli ?
Question : En Allemagne, l’économie est en panne faute de consensus sur la réforme d’un modèle allemand en lambeaux: la tâche du chancelier qui sortira des urnes le 18 septembre s’annonce difficile. Que voyez vous se dessiner après les élections ?
Sur paroles (1), le magazine de la nouvelle école de journalisme de sciences politiques de Paris consacre son dernier numéro (juin 2005) à l’héritage d’Auschwitz. Les étudiants ont rencontré les survivants de l’horreur : Henryk Mandelbaum, un des rares rescapés des Sonderkommandos, ces prisonniers chargés par les nazis de sortir les cadavres des chambres à gaz et de les brûler ; Jules Fainzang (88 ans) déporté à Auschwitz et à Buchenwald et qui participe chaque année à des séminaires sur la transmissions de l’histoire de la Shoah ; Martha Czerewska, une polonaise non juive qui se bat pour la mémoire de son frère Janosz, déporté à Auschwitz parce qu’il était artiste peintre ; Dorotha Rischka qui, tous les matins se rend dans les camps. Son métier ? raconter la Shoah aux visiteurs ; Charles Baron, un déporté français membre de la Commission du souvenir du CRIF, qui retourne souvent en Pologne avec des étudiants ou des lycéens et Annick Kayitesi qui est rescapé du génocide Tutsie.