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Publié le 16 Novembre 2012

La solidarité n’a pas de prix, elle a un coût

Message de Pierre Besnainou, Président du Fonds Social Juif Unifié

 

L’Appel national pour la tsédaka est efficace parce que les montants collectés sont répartis, par les experts du Fonds Social Juif Unifié, entre les associations qui en ont le plus besoin.

Enfants, personnes âgées ou victimes de handicap, familles monoparentales… Aucune catégorie de personnes en difficulté n’est abandonnée. Utilisé à Paris, à Lyon, Marseille, Nice, Strasbourg ou Toulouse, chaque euro donné est optimisé. À ceux qui me font observer que, chaque année, nous revenons vers eux pour l’Appel national pour la tsédaka et qu’ils ont l’impression que cela ne parvient pas à éradiquer la misère, je voudrais dire que grâce à eux, chaque jour, des enfants, des femmes, des hommes vivent dans la dignité. Je voudrais aussi dire la fierté que l’on éprouve lorsqu’une personne s’approche et vous confie que, grâce à l’Appel national pour la tsédaka, elle s’en est sortie et est devenue, à son tour, donatrice.

 

Message de Soly Lévy, Président de l’Appel national pour la tsédaka

 

Chers amis,

 

En 20 ans, grâce à vous, près de 200 000 personnes en difficulté ont pu être aidées. Grâce à vous, des établissements pour enfants et adultes handicapés, des centres pour personnes âgées ont vu le jour. Grâce à vous, des associations ont pu développer des projets sociaux et obtenir le soutien des pouvoirs publics.

 

Au cœur de nos valeurs, la tsédaka, ce « devoir de justice » qui nous construit et nous permet de soutenir ceux qui en ont le plus besoin. Nous pouvons être fiers du travail accompli, mais je suis triste de ce nouvel anniversaire, car dans un contexte de crise économique, ils sont de plus en plus nombreux à souffrir. En 2012, plus que jamais, ils ont besoin de nous ! Les familles monoparentales : 25% des demandes d’aide émanent de femmes seules avec enfants qui vivent avec des minima sociaux (chômage, RSA, activité précaire…) Les jeunes : ils sont de plus en plus nombreux en situation de rupture familiale ou sociale. Les aînés : 1 personne sur 5 prise en charge par nos services sociaux vit avec le minimum vieillesse. Nos ressources diminuent… les demandes augmentent de façon dramatique ! Nous avons besoin de vous pour aider tous ces hommes, ces femmes et ces enfants fragilisés à avoir une vie plus décente et à surmonter leurs difficultés. Parce ce que la solidarité n’a pas de prix, plus que jamais, je compte personnellement sur chacun d’entre vous.

 

Bulletins de don en fichier PDF téléchargeables ci-dessous.

 

Appel national pour la tsédaka

39, rue Broca 75005 Paris

Tél. 0 820 820 808

tsedaka@fsju.org

Une campagne du Fonds Social Juif Unifié

www.tsedaka.fsju.org

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