Blog du Crif - Libertés, Libertés Chéries ... par Jean-David Benichou

22 Octobre 2020 | 96 vue(s)
Catégorie(s) :
France

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Chronique de Bruno Halioua, diffusée sur Radio J, lundi 12 février à 9h20.

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Depuis l’avènement des Lumières, la France est engagée dans une conquête inlassable des Libertés. Qu’elles soient individuelles ou collectives, elles sont devenues le socle de notre république et l’expression de notre identité.

Ces libertés ont été et seront toujours attaquées.

Qu’il s’agisse de guerres pour s’approprier nos richesses, de l’imposition d’un nouveau fachisme pour nous asservir, que cela se passe sur notre sol national ou contre nos compatriotes partout dans le Monde, nous serons toujours des cibles pour ce que nous incarnons : La Liberté.

C’est que la France fait envie. Elle est belle, désirable, fière, indépendante, cultivée, élégante, savante, courageuse, audacieuse, riche, parfumée, maquillée, légèrement vêtue et, plus que tout elle aime entreprendre pour repousser, encore et encore, les frontières de l’ignorance.

Ce combat la rend aussi fragile et vulnérable.

Aujourd’hui, deux maux la menacent en son coeur.

L’un mesure 60 nm sur la lame de verre d’un microscope. L’autre utilise toutes sortes de lames en métal à partir de 10 cm.

L’un se propage par les voies aériennes et se transmet dans nos assemblées. L’autre circule par les voies digitales et contamine les esseulés.

L’un défie la science. L’autre détruit la conscience.

L’un menace de nous asphyxier. L’autre menace de nous étouffer.

L’un infecte indistinctement et tue les plus faibles. L’autre infecte sélectivement et tue les plus forts.

L’un a tué un million de malades en 10 mois, l’autre a fait 10 million de victimes en 40 ans.

L’un comme l’autre divise. L’un entre préventifs et permissifs. L’autre entre réalistes et relativistes.

L’un comme l’autre occupe tout l’espace médiatique.

Là s’arrête la comparaison.

Car pour endiguer la pandémie du Covid, nous acceptons que l’autorité publique limite considérablement nos libertés alors que pour éradiquer l’autre, le cancer de l’Islamisme, nous rechignons à voir la puissance publique employer la force.

D’ou vient que notre civisme tolère pour défendre notre santé individuelle ce qu’il refuse pour défendre nos valeurs collectives ?

Comment, ici, en France, sommes-nous une majorité à faire confiance à la science pour endiguer une épidémie et une minorité à accepter l’emploi de la force martiale pour vaincre une barbarie ?

D’ou vient que le courage politique se manifeste si fortement pour préserver notre santé publique et si faiblement pour défendre la laïcité, le plus précieux de tous nos trésors ?

Ne voyons-nous pas que les chiffres des décès du Covid et ceux des victimes de la guerre Islamiste traduisent une seule et même réalité, celle de notre exposition à un risque mortel?

Ne voyons-nous pas la similarité entre le virus biologique qui s’attaque à notre population et le virus spirituel qui s’attaque à nos valeurs ?

Pourtant, si nous choisissons d’ouvrir complètement les yeux, nous verrons que le dispositif de la lutte contre l’un peut aussi servir pour lutter contre l’autre.

Nous sommes disposés à respecter un couvre feu pour éviter les contaminations ? Acceptons d’en profiter pour démanteler définitivement les filières de la drogue qui finance les réseaux terroristes. Les banlieues sont des territoires en guerre ? Que l’armée s’y déploie et rétablisse l’ordre républicain !

Nous acceptons d’isoler les contaminateurs ? Elargissons la méthode aux prédicateurs islamistes qui sont les « super spreadeur » de la terreur et de la haine. De grâce, ré-ouvrons les bagnes et exilons ces décérébrés dans des sites exotiques connus pour leur totale absence de réseaux de télécommunications !

Nous tolérons des amendes financières dissuasives pour les frondeurs sanitaires ? Que les forces de l’ordre fassent un emploi régulier de leurs armes de neutralisation ! Ce meurtrier tchétchène n’ira encombrer ni notre justice, ni nos prisons. Il faut terroriser les terroristes !

Nous utiliserons des autorisations de sortie pour contrôler les mouvements ? Qu’il en soit de même avec des permis de prise de parole pour lutter contre la haine en ligne. La loi criminalise déjà l’incitation, qu’elle sanctionne maintenant le silence complaisant ! Que ceux qui ont une parole publique soit encadrés pour en faire usage sur les réseaux sociaux. Et interdisons une fois pour toute les commentaires anonymes !

Et surtout, nous tous, chacun, chacune de nous, soyons lucides. L’Islam n’est pas l’Islamisme. Lui, c’est une bête immonde, un courant politique, qui, comme le nazisme, vise à nous asservir et faire de l’Europe un nouvel Iran. A nos compatriotes musulmans, levez-vous comme un seul homme, comme une seule femme, et faites barrage à ces barbares qui vous volent et profanent votre Foi.

Ces groupuscules nous haïssent du plus profond de leurs entrailles. Leurs cerveaux ont atteint le dernier degré de la stérilité. Ces morts-vivants ne sont ni curables ni ré-insérables. Il faut les exclure de notre communauté nationale définitivement avec une détermination et une force totale. A commencer par cesser de les accueillir sur notre territoire ! Qu’ils aillent mener leur Djihad au milieu des océans, sur des iles désertes, là ou ils prêcheront aux poissons.

On vaincra le Covid avec des traitements et de la discipline. On vaincra le terrorisme Islamiste par la force et avec de l’intransigeance.

Paix à l’âme de ce vaillant Professeur d’histoire qui a eu le courage de placer la Liberté d’expression au même rang que la Liberté de culte.

Que son souvenir soit une source d’inspirations pour notre pays. Que sa mort soit le point de départ de notre guérison collective contre le virus de la haine.

Car on ne négocie pas avec les virus. On les éradique.

 

Jean-David Benichou, texte publié sur le site Medium

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