Dans le récent débat sur le « racisme anti-blanc », le grand oublié a été le mot « racisme », comme si sa signification et ses conditions d’emploi ne posaient aucun problème. Il en va tout autrement. Depuis la fin du XXe siècle, il est appliqué de façon polémique à un nombre indéfini de situations, et ne fonctionne plus que d’une façon vague et confuse, comme synonyme approximatif d’exclusion ou de rejet de l’autre, de discrimination, d’hostilité, de haine de l’étranger, d’intolérance à l’égard du différent, de peur phobique ou de mépris. On en connaît les multiples expressions courantes depuis les années 1970 : du « racisme anti-jeunes » au « racisme anti-flics », « anti-vieux », « anti-homosexuels », « anti-Français », voire au « racisme anti-Front national ». Le racisme étant partout, il n’est plus nulle part, et devient indéfinissable.
MEMRI Middle East Media Research Institute - Dépêche FR n° 361
Ci-dessous des extraits de l´allocution d’un enfant, délivrée sur la télévision satellitaire égyptienne « Al-Rahma », le 4 mai 2012, et présentée comme une prédication :
Propos recueillis par Jonathan Curiel pour JSS News
Jérôme Chartier est député UMP de la 7e circonscription du Val-d’Oise. Une semaine après l’attentat contre l’épicerie Casher Naouri située dans sa circonscription et alors que la communauté juive est préoccupée par le regain d’actes antisémites, il a décidé après cette période de fêtes de répondre à nos questions.
MEMRI Middle East Media Research Institute - Dépêche spéciale n° 4974 du 27 septembre 2012.
La télévision Al-Manar du Hezbollah a rendu hommage au négationniste français Roger Garaudy en donnant son nom à une cérémonie organisée à l´attention des meilleurs étudiants libanais. Cette cérémonie adopte chaque année le nom d´une éminente personnalité internationale.