Dov Maimon

Directeur de recherche au Jewish People Policy Institute (Jérusalem)

L'affaire de la kippa comme une opportunité de coalition avec les autres cibles es islamistes

15 Janvier 2016 | 13 vue(s)
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Actualité

Le 33ème Dîner du Crif a eu lieu mercredi 7 mars 2018.

Au théâtre de l'Atelier, Le livre de ma mère réveille les souvenirs et sublime la relation la plus sincère qui est donnée à l'homme de connaître.

Vendredi 23 février, j'ai rencontré Tomasz Młynarski, Ambassadeur de Pologne en France.

La première djihadiste française capturée à Mossoul par les forces irakiennes en juillet 2017, Mélina Boughedir, a été condamnée, lundi 19 février, à sept mois de prison pour l’entrée illégale en Irak. La cour pénale de Bagdad a ordonné la remise en liberté et l’expulsion en France de la jeune femme de 27 ans, sa peine étant couverte par sa détention préventive, rapporte Le Monde du 19 février. Qui sont ces femmes désintégrées, déstructurées et aveuglées par la propagande développée par les djihadistes et qui ont été des proies faciles. C'est ainsi qu'elles se sont déshumanisées et ont participé à cette orgie barbare et moyenâgeuse qu’est le djihadisme.

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"On s'est dit au-revoir. C'était un au-revoir mais qu'y avait-il derrière cet au-revoir ?"

Dans leur numéro de janvier, le magazine Youpi, destiné aux enfants de 5 à 8 ans, a clairement laissé entendre à ses jeunes lecteurs qu' "Israel n'était pas un vrai pays".

"Je m’en vais vous mander la chose la plus étonnante, la plus surprenante, la plus merveilleuse, la plus miraculeuse, la plus triomphante, la plus étourdissante, la plus inouïe…"
 

 

En juin 2017, quelques mois après l'assassinat de Sarah Halimi, Francis Kalifat, Président du Crif, publiait cette tribune en hommage à Sarah Halimi, devenue le triste symbole de l'antisémitisme qui tue. 

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Seuls, nous ne pouvons rien. Tous unis nous pouvons tout.

Par Dov Maimon
 
Vous êtes vous déjà demandé à quoi sert donc cette casquette (supposée de dissimulation de signe extérieur de judaïsme) sur la tête de ces gamins apeurés avec le regard légèrement furtif qu'on reconnaît à cent mètres dans le métro ?
 
Entendons-nous, cette affaire ne réfère pas du rituel mais d'une tentative de retour de la dhimmitude. Et la réponse n'est pas une histoire de couvre-chef mais de dignité. Comme disaient le féministes des années 70, céder un jour c'est céder toujours. 
 
Il y a tous ceux qui ne portent pas la calotte et pour lesquels l'invitation marseillaise n'aura aucune implication pratique. Et puis il y a les religieux qui vont mettre la casquette, qui, d'ordinaire associée à tout un habitus, fait que les arabes antisémites les reconnaissent à cent mètres. Ce que souhaite l'antisémite musulman c'est de retrouver le juif craintif, sur ses gardes, le dhimmi, qu'on regarde avec mépris et que le plus souvent on ne frappe pas ni n'insulte mais qui de temps en temps pour lui rappeler son statut de personne tolérée, on rappelle à l'ordre.
 
La kippa est autant une provocation et un signe d'arrogance pour l'antisémite musulman que la mini-jupe est une provocation et un signe d'arrogance pour le violeur. Il est temps d'identifier qui sont les fauteurs de troubles et les empêcher de nuire. Arrêtons de justifier ces tentatives de culpabilisation des victimes. Les juifs et les femmes sont détestés pareillement par les islamofascistes. Pitié, ne cédez pas. Si vous cédez aujourd'hui, demain ce sera encore pire. Wake up, stand up, brothers and sisters. Stand up for your rights.
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