Communiqué du Camp des Milles: Cérémonie du 21  juillet 2013 au Wagon souvenir des Milles

Journée nationale à la mémoire des victimes des crimes racistes et antisémites de l’État français et en hommage aux Justes de France

Quatre-vingt-dix-sept noms retrouvés d’enfants déportés des Milles furent lus. Un à un. Avec leur âge.

“Moïse Altmann, 13 ans... Werner Goldschmidt, 17 ans, Helga Hirsch, 4 ans… Jan Kraus, 1 an. »

Par la voix assurée et pourtant émouvante de ce jeune garçon du même âge que certaines des victimes de la barbarie nazie. Bouleversant et effroyable.

En raison des congés d’été, la prochaine newsletter paraîtra le 26 août 2013.

La rédaction vous souhaite à tous de bonnes vacances.

Suite aux conclusions de la mission sénatoriale, -lancée dans la foulée du scandale de l'hiver dernier sur les lasagnes au cheval-, présentées jeudi 18 juillet par la rapporteure Sylvie Goy-Chavent (UDI), le président du consistoire central Joël Mergui s'est indigné d'une nouvelle "stigmatisation" de la filière casher. 

Que peut-on dire ou montrer de la Shoah à des enfants de dix ans ? Pour mieux assumer cet enseignement délicat, au programme de CM2, une quinzaine d'instituteurs ont suivi une université d'été à Paris, organisée par le Mémorial de la Shoah. 

Le 18 juillet 1943 est une nouvelle date maudite dans le calendrier infernal de la déportation des Juifs vers les camps d’extermination nazis. 

La ville de Bussy-Saint-Georges est-elle en voie de devenir la cité de la tolérance ? En effet, c'est là que s'édifie mois après mois « une esplanade des religions » unique au monde, à ma connaissance, où sont appelés à se côtoyer une synagogue, une mosquée, une pagode bouddhiste laotienne et un temple bouddhiste taïwanais, et ce, à courte distance d'une église catholique romaine.