Le récit d'un joueur d'échecs sur sa pratique et sa relation au judaïsme. Il évoque son parcours en France et en Israël, décrit les principes du jeu, son histoire et sa philosophie et éclaire cette activité à la lumière de la Torah et de la tradition rabbinique.
Voici un livre très intéressant mais pour le moins étonnant. En effet, si la première partie de l’ouvrage correspond bien au titre annoncé, la seconde, comme on va le voir, est tout à fait différente et nous conduit dans un autre domaine.
Ci-dessous le communiqué de presse de la Fondation du Camp des Milles – Mémoire et Éducation, relatif à la cérémonie de Commémoration de la Journée Nationale du Souvenir des Victimes et des Héros de la Déportation, qui a eu lieu ce dimanche 30 avril 2017 au Site-mémorial du Camp des Milles et lors de laquelle des appels solennels se sont enchaînés pour appeler chacun à la responsabilité et à retenir les leçons de l’Histoire des extrémismes identitaires.
Cette journée de commémoration prend en effet un relier particulier dans un contexte actuel en France.
Député européen, Secrétaire général délégué des Républicains et vice-Président de la région Île-de-France, Geoffroy Didier nous déclare que face à la montée de l’antisémitisme, « la République doit utiliser ses armes lourdes. Que chacun le comprenne : c’est une guerre ». Avançant ses propositions, il observe que La France Insoumise (LFI) et le Rassemblement national (RN) se rejoignent dangereusement, que ce soit sur l’Ukraine ou sur la proposition de loi qui renforce la lutte contre l’antisémitisme et le racisme. En réponse aux questions de Jean-Philippe Moinet, il affirme : « je veux le dire avec force, la République est redevenue un combat. »
Mardi 19 mars, en marge de la 55ème session du Conseil des Droits de l'Homme, le Congrès juif mondial organise un side event à suivre en ligne en direct.
Suite aux récents événements qui se sont déroulés à Sciences Po Paris, le Crif demande qu’une commission d’enquête parlementaire sur l’antisémitisme dans l’enseignement supérieur soit mise en place au plus vite pour auditionner les acteurs concernés.
Dans la nuit du mardi au mercredi 13 mars 2024, la façade du Mémorial de la Shoah de Drancy a été visée par un tir de plomb. La Préfecture de la Seine-Saint-Denis a condamné « avec fermeté les dégradations commises […] sur la façade du mémorial de la Shoah à Drancy », s’indignant « de cet acte antisémite qui vise un lieu de mémoire ».
Dans la matinée du mardi 12 mars 2024, le grand amphithéâtre de Sciences Po Paris a été occupé par des étudiants militants pour la cause palestinienne, et renommé « Amphithéâtre Gaza ». Les étudiants de l’Union des Étudiants juifs de France (UEJF) ont été pris à partie et une étudiante a été empêchée d’accéder à l’amphithéâtre au motif qu’elle était juive et donc sioniste.