Le récit d'un joueur d'échecs sur sa pratique et sa relation au judaïsme. Il évoque son parcours en France et en Israël, décrit les principes du jeu, son histoire et sa philosophie et éclaire cette activité à la lumière de la Torah et de la tradition rabbinique.
Voici un livre très intéressant mais pour le moins étonnant. En effet, si la première partie de l’ouvrage correspond bien au titre annoncé, la seconde, comme on va le voir, est tout à fait différente et nous conduit dans un autre domaine.
Ci-dessous le communiqué de presse de la Fondation du Camp des Milles – Mémoire et Éducation, relatif à la cérémonie de Commémoration de la Journée Nationale du Souvenir des Victimes et des Héros de la Déportation, qui a eu lieu ce dimanche 30 avril 2017 au Site-mémorial du Camp des Milles et lors de laquelle des appels solennels se sont enchaînés pour appeler chacun à la responsabilité et à retenir les leçons de l’Histoire des extrémismes identitaires.
Cette journée de commémoration prend en effet un relier particulier dans un contexte actuel en France.
Un groupe de descendants de Justes français en voyage en Israël à l'occasion du Yom Hashoah, la journée consacrée, lundi 2 mai 2011, aux victimes du nazisme, a rencontré des Franco-israéliens cachés en France par leurs familles pendant la Seconde Guerre mondiale.
A l'occasion de la journée de commémoration de la Shoah, la fondation France-Israël organise pour les descendants des "Justes" une rencontre avec ceux qui ont été sauvés par leurs parents. Vendredi 29 avril 2011 dernier, Nicole Guedj, la présidente de la fondation, répondait aux questions des internautes :
Alain Bruno Lévy, Président de la Coordination Intercommunautaire contre l’Antisémitisme et la Diffamation (CICAD), répond aux questions de la newsletter du CRIF.
Environ 7000 personnes, des jeunes Juifs pour la plupart, ont participé, lundi 2 mai 2011, le jour de Yom HaShoah, à la XXème Marche des Vivants annuelle sur le site de l'ancien camp de la mort d'Auschwitz-Birkenau, en hommage aux six millions de Juifs exterminés par les nazis pendant la Shoah. Les marcheurs ont franchi au son du schofar le portail de ce camp, symbole de la Shoah installé par l'Allemagne nazie dans le sud de la Pologne pendant la Seconde Guerre mondiale.
Le maire de Paris a baptisé, lundi 2 mai 2011, un jardin du XIIe du nom du jeune juif de 23 ans torturé à mort en janvier 2006. Les proches d'Ilan Halimi étaient présents. Quelques mots prononcés rapidement, préparés à l'avance sur un bout de papier pour éviter les sanglots. Entourée de ses proches et de plusieurs personnalités, dont le chanteur Enrico Macias, Ruth Halimi, la mère d'Ilan, remercie chaleureusement mais sans s'attarder le maire de Paris. Devant près de 200 personnes, dont de nombreux représentants de la communauté juive, Bertrand Delanoë dévoile la plaque rendant hommage à Ilan Halimi, torturé à mort à 23 ans par le "gang des barbares".
PMW suit la diffusion des cartes officielles de l'Autorité palestinienne (AP) - présentées dans ses bureaux, dans les événements de l'AP et du Fatah, et dans ses cahiers d'école - qui rayent tout Israël et le remplacent par « la Palestine ».