Francis Kalifat

Ancien président

"Jews : The First Victims in an Anti-Semitic France" mon interview dans le Washington Post

12 Octobre 2016 | 60 vue(s)
Catégorie(s) :
France

Au moins 128 morts à déplorer dans la vague d'attentats qui a frappé Paris vendredi 13 novembre

Portrait de Dov Maimon
Paradoxes de la politique israëlienne
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09 Novembre 2015
Catégorie : France

"A vos crayons citoyens, à la politique citoyens. Si nous voulons que les choses se fassent il va falloir que certains d’entre nous se bougent."

Tel Aviv sur Seine : succès sur les berges et sur le net, opération réussie !

Portrait de Virginie Guedj-Bellaïche
Le dialogue renoué
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29 Juillet 2015
Catégorie : France

Mars 2015, je suis à Bruxelles pour présenter mon livre écrit sous le pseudo de Sefwoman, « Je suis juive mais je me soigne ». Au fond de la salle, 3 garçons se marrent. Je parle de ma grand-mère et de service 98 pièces au liseré doré, de son refus de me parler de l’Algérie, des plats typiques, je les vois acquiescer. A la fin de la présentation, ils ont tous les trois le livre en main. « La dédicace c’est pour qui ? », « Ismaël ».

Célébrer le 14 juillet à Tel-Aviv – une occasion de célébrer la double appartenance culturelle et nationale sur un mode festif et joyeux.

12 juillet 1906, Alfred Dreyfus  est réhabilité par la cour de cassation de Rennes. C’était il y a 109 ans, autant dire une éternité.  

INTERNATIONAL - Le boycott des produits israéliens (nous) glace le sang, parce que l'Etat juif est (toujours) considéré et traité quelque part comme le Juif des Etats.
Le boycott des produits israéliens (nous) glace le sang, parce que l'Etat juif est (toujours) considéré et traité quelque part comme le Juif des Etats. Rappelons à ce sujet qu'une campagne BDS -pour Boycott-Désinvestissement-Sanctions- tente de s'implanter en France, en incitant à boycotter les personnes et les produits provenant de ce pays. Expliquons.


Artcile publié dans le Huffinghton Post http://www.huffingtonpost.fr/marc-knobel/boycott-produits-israeliens_b_7...

Un entretien entre Marc Knobel et Michaël de Saint Cheron, philosophe des religions.

Marc Knobel livre une analyse de l'opinion publique à l'égard de l'antisémitisme et d'autres sujets (avant et après les attentats de Janvier 2015).

Franck Guillory, journaliste, auteur et réalisateur de documentaires s'est rendu à Auswithz en Avril dernier, il nous raconte son expérience et ses souvenirs dans un article publié sur son blog.

Compte-rendu d'un magnifique livre de Benjamin Stora qui raconte son enfance juive à Constantine.

 

Des centaines de tombes ont été profanées au cimetière juif de Sarre-Union (Bas-Rhin), dimanche 15 février 2015, a annoncé le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, dans un communiqué de presse

Neuf ans après l’assassinat d’Ilan Halimi, voici la « chronique d’une barbarie et de ses conséquences médiatiques, politiques et judiciaires »,  par Marc Knobel, historien, chercheur, directeur des Études du CRIF

 

Le Hors-série de L'Express numéro 28, "Regards sur l'Histoire" consacré aux Juifs de France a mis en émoi une partie de la communauté juive, François Heilbronn, professeur des universités associé à Sciences-Po Paris et Président des Amis français de l'université de Tel-Aviv lui a adressé deux lettres ouvertes publiées dans l'Arche.
 

 

 

Retour sur les événements qui sont intervenus en juillet 2014 et les manifestations propalestiniennes qui ont dégénéré.

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Actualité

Un livre de Victoria Klem

Suite au vote le 16 décembre 2016 du conseil municipal de Clermont-Ferrand au vœu présenté par les groupes communistes, Front de gauche et Europe écologie, vœu relatif au boycott des produits israéliens fabriqués dans « les territoires palestiniens occupés », le Maire de Clermont-Ferrand a fait paraître dans le journal local la Montagne un communiqué. La présidente du CRIF Auvergne-Rhône- Alpes lui répond…

Au lendemain des déclarations du ministre israélien de la défense, lundi 26 décembre, qualifiant la conférence de paix sur le Proche-Orient qui doit se tenir prochainement à Paris de nouveau « procès Dreyfus », le Crif a condamné des propos « maladroits ».

 
 
 

J'ai répondu aux questions d'Olivier Lerner dimanche 4 décembre lors de notre Convention Nationale

Halte à la discrimination d'Israel, le CRIF proteste suite à la décision d'étiqueter les produits israeliens. 

Suite à l'annonce de l'adoption de la directive de l'E.U sur l'étiquetage des produits israéliens le Crif a réagit à travers un communiqué, j'ai voulu dénoncer la décision française et l'obessession israelienne.

J'ai répondu aux questions de Sputnik news.

« Si on parlait de la France ? Français, juifs et citoyens » : c’est le thème de la 7e Convention nationale du Crif le dimanche 4 décembre au Palais des Congrès de Paris.

C’est une étonnante indifférence qui entoure la mise en lambeaux de la ville d’Alep en Syrie.

Donald Trump est un excentrique narcissique qui au cours de sa campagne électorale a fait du mensonge une arme redoutable.

Réflexion d’un professeur d’histoire-géographie sur l’abstention de la France au vote de la résolution adoptée par le comité du patrimoine mondial de l’Unesco niant tous liens entre les Juifs et les lieux saints de Jérusalem.

Vendredi 21 octobre j'étais l'invité témoin du journal de Radio J peu après le vote abérrant à l'Unesco d'une résolution sur Jérusalem

FOR JERUSALEM NO VOICE MUST MISS
FOR JERUSALEM NONE OF US CAN REMAIN SILENT

POUR JERUSALEM PAS UNE VOIX NE DOIT MANQUER
POUR JERUSALEM AUCUN D’ENTRE NOUS NE PEUT SE TAIRE
 

 

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Cette période de fêtes juives en France, rime aujourd'hui avec contrôles de sécurtié et détecteurs de métaux

By James McAuley
 

PARIS — The Jewish New Year is supposed to be a time of joy: apples and honey, family and faith.

But in France — home to Europe’s largest Jewish community — the High Holidays are also a time of metal detectors and full-body pat-downs, ID checks and security interviews on the streets outside synagogues.

In the France of 2016, this is the new normal. But contrary to widespread reports of a possible Jewish “exodus” from France to Israel, French Jews are still very much here, adjusting to a new, arbitrary terrorist threat that targets people not just because of their religion but even for the cafe terraces they choose.

“What’s important is to know that today — even if the Jews remain a target — they are not the only ones,” said Francis Kalifat, the president of the Representative Council of French Jewish Institutions, France’s largest Jewish advocacy organization.

For years, anti-Semitic violence has been a mainstay in French headlines: stabbings, shootings, slurs. After the January 2015 attack at a kosher supermarket outside Paris, Israel’s prime minister, Benjamin Netanyahu, urged French Jews to move to Israel.
 

ome did. In a community of roughly 600,000, about 8,000 decamped to the Jewish State last year, an all-time high.

Although many among that 8,000 left for reasons unrelated to anti-Semitism — economic prospects, retirement and rejoining family were all factors — the optics were terrible. In the eyes of the world, France, the first European country to recognize Jews as equal citizens, no longer seemed safe.

This was an idea widely disseminated in international media, especially in the United States. In a provocative April 2015 cover story largely focused on the situation in France, the Atlantic magazine went so far as to ask: “Is it time for the Jews to leave Europe?” Many began to think so.

But then there were the November attacks in Paris and the July attack in Nice, the deadliest on French soil since 1945.

The more than 200 victims murdered in both attacks were chosen entirely at random: teenagers who happened to buy tickets for a particular concert, children who happened to be watching fireworks on a seaside promenade.

Neither attack discriminated among victims; both posed an equal-opportunity threat. France today may not be safer for Jews, but it is now equally unsafe for everyone.

 

“For too long, French Jewry was denounced and disregarded by society at large, which tended to observe from faraway the victims of bombings and attacks,” says Haïm Korsia, France’s chief rabbi.

Immediately after the January 2015 attacks — on the Charlie Hebdo newspaper and the kosher supermarket — the French government created Operation Sentinel, a squadron of 10,000 heavily armed soldiers dispatched to guard sensitive sites. These included many Jewish schools, synagogues and community centers.

Almost immediately, military officials, analysts and some politicians criticized the operation as a costly expenditure without a clear mission.

“They thought they were not targets and could never be hit by such violence,” Korsia said. “But now that everyone is aware of being a potential target, I have the feeling that everyone became more responsible and caring about each other.”

In a time of nondiscriminatory attacks, a more united national community may be more than a political platitude. The mass “exodus” of French Jews never happened.

[A French synagogue is being converted into a mosque after Jews abandoned the neighborhood]

Immigration to Israel has significantly slowed this year — by some estimates as much as 40 percent. And some of those who left France are starting to come back.

In July, the French newspaper Le Monde released a lengthy investigative report suggesting that between 15 and 30 percent of French Jews who move to Israel end up returning to France every year. The actual figure remains unknown, as Israel does not keep statistics on those who leave.

In the words of one woman interviewed by Le Monde: “In Israel, I missed the idea of the Republic — meritocracy and the principle of equality. I realized in Israel that I was French before everything else, whereas before I had the impression of being Jewish first.”

Anti-Semitism in France has far from disappeared. A steady stream of small-scale attacks on religious Jews has continued despite the extensive security protections in place. In August, a 62-year-old Jewish man was stabbed in Strasbourg on a Friday night; in September, a car containing gas canisters was discovered outside a synagogue in Marseille.

“You shouldn’t be shocked,” Kalifat said. “We have a menace to protect against.” Hence the metal detectors and pat-downs during the High Holidays.

For Korsia, this is simply a fact of life, especially in a France increasingly in the crosshairs of the Islamic State.

“Yes, we would all like to be able to wander around, go to the service or drop the kids off at school without being escorted,” he said. “But as paradoxical as it can be, French Jews have gotten used to it.”

And now, so must all of France.

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