Gil Taïeb

Vice Président du Crif

Blog du Crif - Longue vie à Jérusalem !

07 June 2021 | 163 vue(s)
Catégorie(s) :
Actualité

Il y a six ans (ndlr. : cet article a été rédigé en mars 2018), en mars 2012, à Montauban et Toulouse, sept vies ont été fauchées par un terroriste islamique, donc je me refuse à rappeler le nom.

Le 33ème Dîner du Crif a eu lieu mercredi 7 mars 2018.

Au théâtre de l'Atelier, Le livre de ma mère réveille les souvenirs et sublime la relation la plus sincère qui est donnée à l'homme de connaître.

Vendredi 23 février, j'ai rencontré Tomasz Młynarski, Ambassadeur de Pologne en France.

La première djihadiste française capturée à Mossoul par les forces irakiennes en juillet 2017, Mélina Boughedir, a été condamnée, lundi 19 février, à sept mois de prison pour l’entrée illégale en Irak. La cour pénale de Bagdad a ordonné la remise en liberté et l’expulsion en France de la jeune femme de 27 ans, sa peine étant couverte par sa détention préventive, rapporte Le Monde du 19 février. Qui sont ces femmes désintégrées, déstructurées et aveuglées par la propagande développée par les djihadistes et qui ont été des proies faciles. C'est ainsi qu'elles se sont déshumanisées et ont participé à cette orgie barbare et moyenâgeuse qu’est le djihadisme.

En tant que lecteur de la newsletter du Crif, bénéficiez d'un tarif préférentiel ! La place à 15 euros au lieu de 20 euros. Réservations par téléphone : 01 43 27 88 61 avec le code CRIF           

Pages

Opinion

L'historien Laurent Joly publie un nouvel éclairage sur la collaboration de la France occupée à la déportation des juifs. Une œuvre magistrale.

Le Crif souhaite un prompt rétablissement à Jean-Pierre Allali suite à son récent accident et espère le retrouver très vite en pleine forme.

Pages

Le 7 juin est une date mémorable dans l’histoire d’Israël et du peuple juif. Il y a 54 ans, le 7 juin 1967, alors qu’Israël se bat sur trois fronts depuis le 5 juin, les parachutistes Israéliens entrent dans Jerusalem et reprennent possession du Kotel.

Après des millénaires de séparation et de prières, les enfants de Sion, poussés dans un conflit avec la Jordanie, se retrouvent aux pieds du lieu le plus saint du judaïsme. Après avoir bataillé dans les rues sinueuses de la vieille ville, les troupes du Général Uzi Narkis offrent au peuple juif le plus beau des cadeaux. Quelques pierres abandonnées qui pleuraient et qui retrouvent enfin leurs enfants qui depuis la destruction du second temple n’ont jamais cessé de prier et d’espérer ces retrouvailles. Personne ne peut oublier les paroles et la voix vibrante du Général Motta Gur, qui annonçait « Har à Baït Ba Yadenou » : « le Mont du Temple est entre nos mains ». Religieux ou pas, tous ont ressenti l’importance du message et de cet instant.

54 ans après, nous sommes tous les héritiers de ce joyau et les enfants de ces parachutistes libérateurs. Gardons en tête et dans nos mémoires toutes les images, les sons, les prières, les larmes et les rires de ce moment historique.

Jerusalem, la ville trois fois sainte a repris tout son sens et sa valeur depuis ce 7 juin 1967 en devenant non seulement la capitale réunifiée d’Israël mais ce lieu ouvert et accessible à tous.

54 ans sont passés et pourtant trop nombreux sont encore ceux qui nient au peuple juif sa capitale éternelle.

Trop nombreux sont ceux qui aimeraient à nouveau éteindre cette ville qui brille et illumine le monde.

54 ans après le 7 juin 1967, la bataille de Jérusalem n’est pas encore terminée.

Que tous l’entendent : beaucoup de choses peuvent se discuter et être négociées mais Jamais Jérusalem

Longue vie à Jérusalem !

 

Gil Taïeb