Gil Taïeb

Vice Président du Crif

Blog du Crif - Longue vie à Jérusalem !

07 June 2021 | 161 vue(s)
Catégorie(s) :
Actualité

Lors de la cérémonie nationale d'hommage commémorant le Vel d'Hiv, le Président du Crif s'est dit "choqué et révolté par les images indécentes des récalcitrant à la vaccination arborant l’étoile jaune et faisant des raccourcis honteux. C’est un outrage à la mémoire des victimes de la Shoah".

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Israël

Vendredi 21 octobre j'étais l'invité témoin du journal de Radio J peu après le vote abérrant à l'Unesco d'une résolution sur Jérusalem

FOR JERUSALEM NO VOICE MUST MISS
FOR JERUSALEM NONE OF US CAN REMAIN SILENT

POUR JERUSALEM PAS UNE VOIX NE DOIT MANQUER
POUR JERUSALEM AUCUN D’ENTRE NOUS NE PEUT SE TAIRE
 

 

Le boycott des produits israéliens (nous) glace le sang.

Un ouvrage sympathique et émouvant à découvrir.

Une grande passion pour Israël et pour le peuple juif.

I was interviewed in English and French, on EJP , Tuesday, May 31, 2016.

J'ai été interviewé, en anglais et en français, sur EJP, mardi 31 mai 2016.

J'ai été interviewé par Marc-Olivier Fogiel et Eléanor Douet, sur RTL, lundi 30 mai 2016, à la suite de mon élection à la Présidence du Crif.

A l'occasion de l'assemblée générale du Crif réunie le 29 mai 2016, j'ai prononcé mon discours de candidature.

 
Lors d’une allocution devant le Conseil de sécurité, Rafael Ramirez, représentant du Venezuela auprès des Nations-Unies, a lancé… « Qu’est-ce qu’Israël a l’intention de faire avec les Palestiniens ? Vont-ils disparaître ? Est-ce qu’Israël cherche à imposer une Solution finale sur les Palestiniens ? » 
 

Décryptage.

 

A Noël, les journaux français qui ont imputé aux Israéliens les difficultés des chrétiens à Bethléem ont passé sous silence l'attaque du Patriarche latin de Jérusalem par des émeutiers palestiniens musulmans dans la ville natale de Jésus. Une différence de couverture lourde de sens dans la période de Noël chargée de symboles.

A Noël, les journaux français qui ont imputé aux Israéliens les difficultés des chrétiens à Bethléem ont passé sous silence l'attaque du Patriarche latin de Jérusalem par des émeutiers palestiniens musulmans dans la ville natale de Jésus. Une différence de couverture lourde de sens dans la période de Noël chargée de symboles.

D'abord on critique, puis on dénie et pour finir on adopte. Laissons le temps au temps.

Conflit israélo palestinien, traitement médiatique, crise de l'information : analyse

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Opinion

À l’heure de la réconciliation Jérusalem-Ankara, retour sur l’histoire des Juifs de Turquie.

Patricia Sitruk est membre du Comité directeur du Crif

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Le 7 juin est une date mémorable dans l’histoire d’Israël et du peuple juif. Il y a 54 ans, le 7 juin 1967, alors qu’Israël se bat sur trois fronts depuis le 5 juin, les parachutistes Israéliens entrent dans Jerusalem et reprennent possession du Kotel.

Après des millénaires de séparation et de prières, les enfants de Sion, poussés dans un conflit avec la Jordanie, se retrouvent aux pieds du lieu le plus saint du judaïsme. Après avoir bataillé dans les rues sinueuses de la vieille ville, les troupes du Général Uzi Narkis offrent au peuple juif le plus beau des cadeaux. Quelques pierres abandonnées qui pleuraient et qui retrouvent enfin leurs enfants qui depuis la destruction du second temple n’ont jamais cessé de prier et d’espérer ces retrouvailles. Personne ne peut oublier les paroles et la voix vibrante du Général Motta Gur, qui annonçait « Har à Baït Ba Yadenou » : « le Mont du Temple est entre nos mains ». Religieux ou pas, tous ont ressenti l’importance du message et de cet instant.

54 ans après, nous sommes tous les héritiers de ce joyau et les enfants de ces parachutistes libérateurs. Gardons en tête et dans nos mémoires toutes les images, les sons, les prières, les larmes et les rires de ce moment historique.

Jerusalem, la ville trois fois sainte a repris tout son sens et sa valeur depuis ce 7 juin 1967 en devenant non seulement la capitale réunifiée d’Israël mais ce lieu ouvert et accessible à tous.

54 ans sont passés et pourtant trop nombreux sont encore ceux qui nient au peuple juif sa capitale éternelle.

Trop nombreux sont ceux qui aimeraient à nouveau éteindre cette ville qui brille et illumine le monde.

54 ans après le 7 juin 1967, la bataille de Jérusalem n’est pas encore terminée.

Que tous l’entendent : beaucoup de choses peuvent se discuter et être négociées mais Jamais Jérusalem

Longue vie à Jérusalem !

 

Gil Taïeb