Lydia Guirous en appelle au "réveil du citoyen de l'Occident" face à "l'obscurantisme islamique qui progresse rapidement". Un citoyen "anesthésié par l'individualisme narcissique et le matérialisme".
Alors que le débat est lancé dans plusieurs pays, et que tout et son contraire est déclaré, Gérard Loeb, point par point, démonte toutes les idées reçues sur l'abattage rituel. A lire pour comprendre !
L’historien spécialiste del' Algérie, qui préside le Musée de l’histoire de l’immigration, participera à la prochaine Convention du Crif, le 4 décembre 2016 à Paris. Il interviendra lors de la table ronde intitulée "Qui a peur de l’immigration ?".
Présidente de l'Observatoire international de la violence à l’école, Catherine Blaya pilote une grande enquête sur la propagande et la violence en ligne.
Un groupe de descendants de Justes français en voyage en Israël à l'occasion du Yom Hashoah, la journée consacrée, lundi 2 mai 2011, aux victimes du nazisme, a rencontré des Franco-israéliens cachés en France par leurs familles pendant la Seconde Guerre mondiale.
A l'occasion de la journée de commémoration de la Shoah, la fondation France-Israël organise pour les descendants des "Justes" une rencontre avec ceux qui ont été sauvés par leurs parents. Vendredi 29 avril 2011 dernier, Nicole Guedj, la présidente de la fondation, répondait aux questions des internautes :
Alain Bruno Lévy, Président de la Coordination Intercommunautaire contre l’Antisémitisme et la Diffamation (CICAD), répond aux questions de la newsletter du CRIF.
Environ 7000 personnes, des jeunes Juifs pour la plupart, ont participé, lundi 2 mai 2011, le jour de Yom HaShoah, à la XXème Marche des Vivants annuelle sur le site de l'ancien camp de la mort d'Auschwitz-Birkenau, en hommage aux six millions de Juifs exterminés par les nazis pendant la Shoah. Les marcheurs ont franchi au son du schofar le portail de ce camp, symbole de la Shoah installé par l'Allemagne nazie dans le sud de la Pologne pendant la Seconde Guerre mondiale.
Le maire de Paris a baptisé, lundi 2 mai 2011, un jardin du XIIe du nom du jeune juif de 23 ans torturé à mort en janvier 2006. Les proches d'Ilan Halimi étaient présents. Quelques mots prononcés rapidement, préparés à l'avance sur un bout de papier pour éviter les sanglots. Entourée de ses proches et de plusieurs personnalités, dont le chanteur Enrico Macias, Ruth Halimi, la mère d'Ilan, remercie chaleureusement mais sans s'attarder le maire de Paris. Devant près de 200 personnes, dont de nombreux représentants de la communauté juive, Bertrand Delanoë dévoile la plaque rendant hommage à Ilan Halimi, torturé à mort à 23 ans par le "gang des barbares".
PMW suit la diffusion des cartes officielles de l'Autorité palestinienne (AP) - présentées dans ses bureaux, dans les événements de l'AP et du Fatah, et dans ses cahiers d'école - qui rayent tout Israël et le remplacent par « la Palestine ».