Gil Taïeb

Vice Président du Crif

Blog du Crif - Les supporters du Maccabi Haïfa seront-ils les bienvenus à Paris ?

19 September 2022 | 217 vue(s)
Catégorie(s) :
France

Par un enchaînement de hasards, notre bloggueuse Sophie, plus habituée aux sujets de cyber-sécurité et de contre-terrorisme, s'est retrouvée les mains dans la pâte (à pizza). Et ça lui a donné quelques idées plutôt gourmandes... Elle les partage avec vous cet été à travers ces chroniques culinaires !

 

Par un enchaînement de hasards, notre bloggueuse Sophie, plus habituée aux sujets de cyber-sécurité et de contre-terrorisme, s'est retrouvée les mains dans la pâte (à pizza). Et ça lui a donné quelques idées plutôt gourmandes... Elle les partage avec vous cet été à travers ces chroniques culinaires ! 

Il y a 80 ans, le 7 juin 1942, la législation instaurant l'étoile jaune était mise en place. À cette occasion, découvrez 4 articles sur la façon dont Serge Gainsbourg, Jean Ferrat, Sacha Distel et Marcel Gotlib ont vécu le port de l'étoile jaune.

Ces articles sont proposés par Bruno Halioua, et issus de son livre «Leur Seconde Guerre Mondiale», (édition Buchet Chastel - 2020). Dans ce livre, il s'intéresse à la façon dont certaines personnes célèbres ont vécu les événements marquants de la Seconde Guerre Mondiale.

Il y a 80 ans, le 7 juin 1942, la législation instaurant l'étoile jaune était mise en place. À cette occasion, découvrez 4 articles sur la façon dont Serge Gainsbourg, Jean Ferrat, Sacha Distel et Marcel Gotlib ont vécu le port de l'étoile jaune.

Ces articles sont proposés par Bruno Halioua, et issus de son livre «Leur Seconde Guerre Mondiale», (édition Buchet Chastel - 2020). Dans ce livre, il s'intéresse à la façon dont certaines personnes célèbres ont vécu les événements marquants de la Seconde Guerre Mondiale.

Il y a 80 ans, le 7 juin 1942, la législation instaurant l'étoile jaune était mise en place. À cette occasion, découvrez 4 articles sur la façon dont Serge Gainsbourg, Jean Ferrat, Sacha Distel et Marcel Gotlib ont vécu le port de l'étoile jaune.

Ces articles sont proposés par Bruno Halioua, et issus de son livre «Leur Seconde Guerre Mondiale», (édition Buchet Chastel - 2020). Dans ce livre, il s'intéresse à la façon dont certaines personnes célèbres ont vécu les événements marquants de la Seconde Guerre Mondiale. 

Pages

Actualité

Lors de la cérémonie nationale d'hommage commémorant le Vel d'Hiv, le Président du Crif s'est dit "choqué et révolté par les images indécentes des récalcitrant à la vaccination arborant l’étoile jaune et faisant des raccourcis honteux. C’est un outrage à la mémoire des victimes de la Shoah".

Discours de Marcel Dreyfuss,  Président d’honneur du Consistoire, représentant du Crif ARA - Dimanche 18/7/2021 au CHRD

Discours prononcé à la cérémonie du 18 juillet par M. Albert Massiah, Président du Crif Bordeaux-Aquitaine, lors de la « Journée nationale à la mémoire des crimes racistes et antisémites commis par l’État français de Vichy et en hommage aux Justes de France. »

Pages

Israël

Un ouvrage sympathique et émouvant à découvrir.

Une grande passion pour Israël et pour le peuple juif.

I was interviewed in English and French, on EJP , Tuesday, May 31, 2016.

J'ai été interviewé, en anglais et en français, sur EJP, mardi 31 mai 2016.

J'ai été interviewé par Marc-Olivier Fogiel et Eléanor Douet, sur RTL, lundi 30 mai 2016, à la suite de mon élection à la Présidence du Crif.

A l'occasion de l'assemblée générale du Crif réunie le 29 mai 2016, j'ai prononcé mon discours de candidature.

 
Lors d’une allocution devant le Conseil de sécurité, Rafael Ramirez, représentant du Venezuela auprès des Nations-Unies, a lancé… « Qu’est-ce qu’Israël a l’intention de faire avec les Palestiniens ? Vont-ils disparaître ? Est-ce qu’Israël cherche à imposer une Solution finale sur les Palestiniens ? » 
 

Décryptage.

 

A Noël, les journaux français qui ont imputé aux Israéliens les difficultés des chrétiens à Bethléem ont passé sous silence l'attaque du Patriarche latin de Jérusalem par des émeutiers palestiniens musulmans dans la ville natale de Jésus. Une différence de couverture lourde de sens dans la période de Noël chargée de symboles.

A Noël, les journaux français qui ont imputé aux Israéliens les difficultés des chrétiens à Bethléem ont passé sous silence l'attaque du Patriarche latin de Jérusalem par des émeutiers palestiniens musulmans dans la ville natale de Jésus. Une différence de couverture lourde de sens dans la période de Noël chargée de symboles.

D'abord on critique, puis on dénie et pour finir on adopte. Laissons le temps au temps.

Conflit israélo palestinien, traitement médiatique, crise de l'information : analyse

Sophie Taïeb's picture
Incendie du tombeau de Joseph
|
16 October 2015
Catégorie : Israël

Détruire la cité ancienne de Palmyre et faire brûler le tombeau de Joseph reviennent-ils vraiment au même ? Pas pour tout le monde.

Quand les larmes se transforment en espoir d'un monde meilleur.

Maxime Perez est journaliste, correspondant pour la presse française en Israel et spécialiste des affaires militaires pour la chaine i24News.
Marc Knobel Directeur des Etudes du CRIF à confié à Maxime Perez le soin de présenter une étude sur l'Opération Bordure Protectrice.

Lundi dernier, l’ancien Président de la République était en Israël. Une visite étrange, hybride où le mélange des genres s’ajoute à la confusion des rôles.

Pages

Opinion

À l’heure de la réconciliation Jérusalem-Ankara, retour sur l’histoire des Juifs de Turquie.

Patricia Sitruk est membre du Comité directeur du Crif

Pages

Je suis persuadé que comme moi, vous étiez très nombreux à vous être installés devant votre téléviseur mercredi 14 septembre au soir, afin de voir le match de football Maccabi Haïfa contre PSG en direct du stade Sammy Ofer. Un match qui a vu la confrontation entre le club parisien aux joueurs dont les noms font rêver des millions de passionnés du ballon rond face à un Petit Poucet de la ligue des champions, le Maccabi, à Haifa. Un match entre un club au budget dont le montant de 700 millions d’euros semble inimaginable, voire à la limite de l’indécence, face au club Israélien dont le budget de 27 millions ne suffirait pas à payer le salaire d’un des joueurs vedettes.

Un match rêvé. Un spectacle attendu. Pour un tel événement, la fête était au rendez-vous. Dans un stade bondé, le public Israélien a répondu présent et dans une ambiance qui ferait rêver nombre de clubs dans le monde, le match s’est ouvert et a fait vibrer tous les supporters. Tant ceux, plus que majoritaires évidemment, venus soutenir Haifa que les plus de 1200 supporters du PSG. Des supporters bien particuliers puisque l’immense majorité d’entre eux venait d’Israël. Des franco-israéliens qui ont gardé l’amour de leur club parisien. Certains ont fait remarquer que rarement le PSG avait été accompagné par autant de supporters portant Kippa. D’autres supporters ceux du Kop parisien, se déplaçant partout pour suivre leur équipe, ont décidé quant à eux de boycotter Israel. Une fois de plus la haine d’Israël a montré son visage, violant la neutralité du sport. Une stigmatisation du club Israélien ignorant même combien ce club de Haifa est le symbole du vivre ensemble, avec ses joueurs de toutes origines et de toutes religions. Une fois encore la haine d’israël a été plus forte et très peu de voix se sont fait entendre pour rappeler cette situation qui dérange les partisans du BDS et autres antisémites. Sur place, l’ambiance était tellement joyeuse, fraternelle et humaine que les commentateurs français, tel que l’ancien champion du monde Emmanuel Petit, ou même l’entraîneur français lui-même Christophe Galtier, ont tous exprimé leur admiration devant le climat exceptionnel qui régnait tant avant le match que pendant le match et après le match. Un match qui nous a fait vibrer, un match qui a montré une belle équipe de Haifa et qui s’est terminé par la victoire attendue du PSG mais avec moins de brio que prévu. Un match qui nous a fait plaisir. Un match qui nous donne envie d’être présent pour le match retour le 25 octobre prochain à Paris.

Une envie donc nous risquons d’être privés car à Paris, la détestation d’Israël fait craindre des débordements. Une haine insupportable qui salit les valeurs sportives. Une haine qui déshonore la France et Paris.

Haifa sera à Paris et défendra ses couleurs mais sans un public qui aurait tant aimé l’accompagner.

Aujourd’hui en France, la fraternité dans les stades est souvent une notion lâchement abandonnée.

La haine dans les stades est aujourd’hui monnaie courante. Ainsi, les images du défilé bras tendus des supporters du Dynamo de Zagreb, club croate, dans les rues de Milan, nous rappelle que les nazillons sont toujours là et qu’avec les antisémites anti Israéliens du BDS, ils font cause commune dans la détestation du Juif et de l’État Juif.

Malgré tous ces sauvages, racistes et antisémites, Israël progresse dans tous les domaines et même dans le sport.

Le 25 octobre nous serons devant nos écrans pour voir ce match qui, j’en suis certain, nous enchantera.

 

Gil Taïeb

- Les opinions exprimées dans les billets de blog n'engagent que leurs auteurs -c

Maintenance

Le site du Crif est actuellement en maintenance