Gil Taïeb

Vice Président du Crif

Blog du Crif - Ensemble, nous sommes plus forts

04 December 2020 | 64 vue(s)
Catégorie(s) :
France

De ce 9 janvier 2015, nous voulons retenir une autre image, cette belle image. Celle de Lassana Bathily.

Lundi 20 novembre, j'ai rencontré le Président français Emmanuel Macron à Paris, accompagné d'une délégation du Congrès Juif Européen (EJC).

La semaine dernière, le Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif) proposait dans sa newsletter et sur ses réseaux sociaux un contenu qui a fait polémique.

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Actualité

Le 34ème Dîner du Crif a eu lieu mercredi 20 février 2019

Depuis plusieurs années, le cinéma international ne cesse de plébisciter les cinéastes iraniens. Asghar Farhadi en est l’exemple même. Cependant, certains réalisateurs n’ont pas la chance d’être autant ovationnés.

Pour leur cinéma engagé, frontal et dénonciateur du pouvoir politique et du régime iranien, grand nombre de réalisateurs iraniens ont été, pour les plus chanceux, contraint à l’exil, tandis que d’autres en détention, subissent le triste sort réservé aux prisonniers iraniens.

Dimanche 13 janvier 2019, le Crif a organisé un voyage de mémoire à Auschwitz-Birkenau. Ensemble, au cours de cette journée, nous avons honoré le devoir de mémoire qui nous incombe et sommes devenus les témoins des témoins.

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Opinion

Bienvenue sur le blog La Chronique (pas tès casher) de Raphaela ! Sur ce blog, Raphaela vous propose ses billets d'humeur sur tout ce qui l'entoure, l'émeut, la touche, la fait rire et la révolte. Et elle a des choses à vous dire...

Les jolies colonies de vacances... Il fait beau, il fait chaud, ça sent vraiment les vacances ! Cette semaine, nous vous proposons une série d'articles sur les mouvements de jeunesse juifs en France ! Aujourd'hui, découvrez le parcours d'une ancienne E.I. !

Bienvenue sur le blog La Chronique (pas tès casher) de Raphaela ! Sur ce blog, Raphaela vous propose ses billets d'humeur sur tout ce qui l'entoure, l'émeut, la touche, la fait rire et la révolte. Et elle a des choses à vous dire...

 

Découvrez ma lecture du livre de Ginette Kolinka, "Retour à Birkenau".

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Depuis 1992, à l’initiative de l’ONU, le 3 décembre est la journée internationale des personnes handicapées. Selon sa définition officielle, cette journée vise à promouvoir la compréhension des questions de handicap et à mobiliser le soutien pour la dignité, le droit et le bien-être des personnes handicapées.

Une journée pour comprendre ce que vivent des millions d’entre nous 365 jours par an.

Une journée pour essayer de comprendre comment vivre avec un handicap quelle qu’en soit la forme.

Une journée pour se poser la question essentielle : Qu’a-t-on fait et que fait-on vraiment pour celles et ceux qui, souvent à cause de « petites » mais pour elles énormes choses, sont en situation de handicap ? Et que nous mettons en situation de handicap par les obstacles que nous mettons sur leur passage ou par la non prise en compte de ces aménagements qui trop souvent font défauts.

Quelques exemples :

  • L’absence de rampes d’accès à un magasin
  • Des toilettes en étage ou au sous-sol dans un restaurant
  • Des places inaccessibles dans les salles de spectacles
  • Des passages piétons non équipées de signaux sonores indiquant la couleur du feu

Et des tas d’autres petites choses auxquelles je vous invite à réfléchir qui font que nous gâchons la vie de ceux qui n’aspirent pas à la compassion ni à la pitié mais qui demandent simplement à pouvoir être comme tout le monde : des consommateurs, des citoyens libres.

Ces millions d’handicapés, comme on les nomme, sont des hommes, des femmes et des enfants qui comme l’ensemble de l’humanité, ont les mêmes défauts que tout un chacun. Ils peuvent être comme nous tous, intelligents ou idiots, adorables ou « cons », avares ou généreux.

Ils sont comme nous tous, des humains avec leurs défauts et leurs qualités. 

En cette période de Tsedaka, en cette veille de shabbat, au lendemain de cette journée internationale du handicap, soyons tous, handicapés ou non, des êtres généreux conscients de notre responsabilité vis-à-vis de notre prochain et donnons afin de ne pas mettre en « situation de handicap » ceux qui souffrent physiquement, moralement ou économiquement.

Seuls, ils sont faibles, ensemble nous sommes forts !

Donnons à l’Appel National pour la Tsedaka !

Gil Taïeb 

 

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